Le rêve de l'aborigène

Première participation au festival le rêve de l'aborigène. Ce n'est pas un festival de musique traditionnel. C'est donc partie pour un week-end.

Affiche 2019 du festival le rêve de l'aborigène

week-end du 20 et 21 juillet 2019

Suite au problème de démarrage de la semaine dernière va t'on pouvoir partir. Donc petit appréhension au démarrage de la Velsatis. On respire elle a démarré sans souci.

Donc direction Airvault, où plutôt Saint-Loup Lamairé. En effet eu égard à la condition d'Edna on a décidé de dormir à l'hôtel plutôt qu'au camping.

Nous déposons donc nos affaires et repartons tout de suite pour le festival.

Avant de pouvoir se garer, nous sommes bloqués quelques minutes. Le temps d'être impatient et de se poser la question de faire demi-tour afin de se stationner de manière sauvage. Le temps de mes tergiversations font qu'un nouveau parking vient de s'ouvrir et que ça devient fluide.

Petite marche, qui nous mets dans l'ambiance, pour rejoindre l'entrée.

Panneau qui accompagne l'entrée du festival
Panneau qui accompagne l'entrée du festival
Panneau qui accompagne l'entrée du festival

Nous rentrons dans le Rêve.

Sauf qu'il est environ 14h et nous avons faim. Donc direction la restauration, en faisant une petite halte au stand de Martina tenu dans l'immédiat par Victoire.

Triporteur de la Librairie Invisible

Elle nous informe qu'à 14h30 il y a une conférence sur l'accouchement.

Nos ventres souhaitant être rassasiés nous reprenons notre route et on croise.... Martina.

Claquette Love de Martina

Elle nous reparle de la conférence. C'est donc acté.

Pour le repas, Edna pensant faire la queue dans un resto indien, se retrouve finalement à manger des nouilles façon asiatique. Marc va prendre des falafels.

Nous retrouvons Flora et allons terminer nos plats en écoutant la conférence.

Conférence
Panneau de présentation du stand

Durant la conférence, Marc s'éclipse pour que François le retrouve. C'est une belle coïncidence. Nous avons découvert que François était au Rêve après qu'il est posté des photos sur Instagram.

Fin de la conférence. Edna l'aura trouvé moyennement intéressante.

Nous partons à la découverte des différents stands. Y est vendu notamment le fameux didgeridoo.

Atelier initiation

L'idée est également de se manger une glace. Nous goutons le parfum "amande chai"

Souhaitant aller voir jouer des amis à François, nous repartons pour la scène libre.

Nous restons dans la thématique de l'accouchement avec un spectacle humoristique sur ce thème. Marc y retiendra à mot : ocytocine (orthographe trouvé sur internet). Ce n'est toutefois pas le spectacle auquel nous pensions assister.

Cette fois-ci nous allons vraiment voir les amis à François. Pour ça nous nous dirigeons à l'autre extrémité du lieu.

Nous nous posons à l'entrée d'un tipi. Les amis de François jouent et chantent. Moment apaisant.

Nous sommes dans la période des festivals de musique. Marc s'était donc imaginé des concerts non stop, à la différence prêt, le style de musique et le côté hippie. En fait les concerts officiels commence vers les 17h et pendant la journée il est organisé des conférences, des activités ; il était possible de grimper dans les arbres, des ateliers adultes, enfants, bébé / parents, etc. Les participants se font faire des atèbas, se peigne le visage et/ou le corps. Edna a appris qu'il est possible de proposer son atelier. La programmation est très old school. En effet, à l'heure du numérique, les programmes sont écrits sur des ardoises au pied des scènes et des lieux d'activités. On vient consulter des classeurs pour connaître les différents ateliers. Marc pense qu'il y a cette volonté des organisateurs de proposer une expérience de liberté. Les limites naturelles du site ; pas de grillages mais des arbres, aide à ce sentiment.

Les concerts commence, nous nous dirigeons donc vers la petite scène. Une estonienne joue ......

En parallèle, Edna et François sont en mission Chai latte mais reviennent en plus du thé, qui est très bon, avec quatre barquettes de vrais frites ; patates épluchées en amont.

Le speaker fait la remarque qu'il est rare qu'une artiste femme soit seule sur scène est rare. Et effectivement après s'être remémorer nos concerts on en a pas trouvé beaucoup. Pour ma part je me rappel de Christine And the Queens en première partie à La Citrouille à Saint Brieuc.

A la fin du concert, nous basculons sur la plus grande scène.

Il y a limite plus d'animation dans le public que sur scène. Des gens jouent au jeux ninja, jonglent, font des portés tels des artistes du cirque.

La nuit est tombé, on s'oriente vers un espace rond délimité par des barrières en bois. Y alterne des jongleurs avec différents outils mais une constance, le feu. Cela donne de jolies images.

En même temps sur la petite scène se produit un groupe jouant du dji au accent très hip-hop. D'ailleurs les musiciens sont accompagnés d'un danseur qui fait notamment du krump.

On continue les concerts. Cette fois c'est les Violons Sauvages. Un nom de groupe nul mais il vont mettre l'ambiance dans de jolies couleurs.

Une scéne colorée

Pour moi et Edna c'est l'heure de rentrer à l'hôtel.

Un hôtel qui va s'avérait cher pour la qualité. Un cafard dans l'escalier, un parquet qui grince fortement, des toilettes défectueuses nous obligeant à couper l'eau pour arrêter le bruit, des murs fins. D'ailleurs j'ai du réveiller nos voisins en utilisant le sèche-cheveux à 3h du matin.

Après avoir pris notre petit déjeuner à l'hôtel nous repartons pour le rêve.

Panneau L'amour l'emporte
Marc et Edna devant le panneau l'amour l'emporte
Petit rappel que le festival se veut sans alcool

Nous avions repéré la veille un joli hang pour Adao. Nous retournons donc l'acheter et nous finissons notre tour des stands avant de retrouver Flora et François.

Atelier sur les énergies

Marc repère un groupe de gens s'en allant vers la prairie. Il se joint à eux. Il s'avère que c'est un atelier du rire. En ronde, nous allons rire pour nous détendre et faire venir le bonheur. Expérience peu concluante car j'ai vraiment du mal à rire sur commande. En outre cela me donne mal à la tête. Je quitte le groupe avant la fin.

Je rejoins Edna et François, assis pour assister au spectacle des enfants.

S'ensuit la parade du rêve. L'organisateur invite les festivaliers à ne pas prendre de photos.

A la suite d'un totem, Mama (pas sur du nom), tous les joueurs de didgeridoos sont invités à ce placer en fil indienne derrière. Son didgeridoo sur l'épaule du joueurs qui nous précède.

Cette parade déambule sur le site pour finir en faisant un cercle. Au centre mama et un petit arbre, les joueurs de didgeridoos s'assoient et les festivaliers sortent du cercle pour ce placer á l'extérieur.

Les didgeridoos continuent à sonner accompagné de cinq personnes qui rythment le mouvement en tapant sur des bouts de bois.

Après ce temps les festivaliers intègrent le cercle. Assis, ils s'imprègnent des vibrations.

Nous nous sommes assis, sans Edna qui est partie manger, à l'ombre et en hauteur pour suivre ce "spectacle". Au bout d'un temps je repère Edna au loin. Je m'empresse de la rejoindre.

Nous nous asseyons à une table de pique-nique. Edna discute avec Martina et Flora. J'en profite pour aller me chercher une pokebowl.

Flora et Edna devant le hang
Marc et Edna devant le hang
Bracelets d'entrée du festival

Au loin, les participants commence un câlin collectif. Chaque personne peut quitter le câlin quand il le souhaite. Donc petit à petit cela diminue mais longtemps après il y a toujours un petit groupe jusqu'à ce qu'il n'y ai pu personne.

Je ne sais plus pourquoi mais nous allons être à nouveau séparé avec Edna. Nous allons nous retrouvez au niveau des restaurants.

Avec François puis Flora nous allons passé un temps sur cette table à discuter entre nous et avec d'autres festivaliers.

20h30 arrive. Il est temps de reprendre la route pour Nantes. François et Flora nous raccompagne. Nous disons au revoir à nos compagnons et remontons la côte alors que la pénombre arrivé.

Mandala de fil

Et la galère. La voiture dysfonctionne en sachant qu'Edna prend son service le lendemain à 8h30. Je propose d'attendre une demi-heure et de réessayer de démarrer.

A côté se dise au revoir des festivaliers. Ils ont deux voitures dont une est immatriculée 44. Edna saute sur l'occasion. Il passe par Nantes et accepte de ramener Edna.

30 minutes plus tard je réessaye et ..... la Velsatis démarre.

Fin de ce premier mais pas dernier Rêve de l'aborigène